J'ai un (sacré) grain

Une photographe (d'exception) dans le Lot et partout ailleurs

Pourquoi suis‐je devenue photographe ?
J’ai toujours été attirée par le monde de l’image. Mon oeil s’accroche à la lumière et aux ambiances que celle‐ci fabrique depuis longtemps.
Et puis il y a mon amour pour l’autre, l’humain, le vivant, et les histoires que vous racontez devant mon objectif sans vous en apercevoir.
Il y a notre rencontre mais il y a aussi celle de la lumière (oui encore elle !) et de la sensibilité, celle des émotions et des regards qui brillent, celle qui rigole très fort et qui danse un verre à la main. Celle de la simple liberté d’être vrai(e).
Je suis gourmande et j’aime la vie, danser jusqu’à plus de pieds, faire la fête (vraiment !), les mojitos bien faits (espèce en voie de disparition), les choses simples me comblent de joie mais j’ai besoin de pétillant pour avancer, je n’aime pas les gens qui se prennent au sérieux et je dis beaucoup trop « du coup » mais je me soigne (et je dis aussi beaucoup trop un autre mot, je te le dirais en off promis !)

En grande fan de photographie argentique, je mets un point d’honneur à travailler mes photos dans ce sens‐là. Elles ont du grain (un peu comme nous tous ;‐)), sont contrastées et
chaleureuses. Réussir à créer une atmosphère cinématographique est un challenge permanent aussi.
Avec moi, pas de mises en scène, vous n’êtes pas des acteurs (enfin si peut‐être mais pas à ce moment‐là ;‐)) que je prétends pouvoir diriger. Soyez libres d’être vous. Promis, en ce qui me concerne, je ne sais pas faire autrement que d’être moi.
Quelque peu informelle, votre folie douce et vos idées délirantes et non conventionnelles seront les bienvenues ;‐) Surprenez‐moi !
Alors ? On se rencontre ?

« Que ce soit chez toi, dans ta cuisine, ta chambre, ton jardin ou ton garage, au bord de l’eau les pieds dans le sable ou dans une capitale européenne, en montagne près d’un lac ou dans la forêt, sous une toile de tente, à la campagne avec les poules, les brebis et les autres, sur un grand boulevard new‐yorkais, à l’hôtel ou dans une cabane à l’autre bout du monde, avec
un café, un mojito, des tek paf ou du champagne, des potes, en amoureux ou en famille, pour faire la fête, se marier, se marrer ou se retrouver simplement, même seul(e)… Les possibilités sont infinies et elles sont toutes dignes d’exister ! »